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03/09/2014

Nancy : Le GHB est il de retour dans les discothèques ?

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C'est probablement l'une des techniques les plus aboutis, car elle pousse ses victimes à rarement déclarer les faits, tant leurs esprits sont embrouillés. Et alors qu'on pensait que la "drogue du viol" s'était finalement faite discrète, un médecin généraliste vient de relancer le débat sur le sujet.

Selon lui, le GHB serait de retour, dans les discothèques nancéiennes. En effet, toujours selon le généraliste, on pourrait déjà déplorer 4 nouveaux cas de personnes se plaignant d'avoir été droguées, à défaut de violées. Et ceci en seulement 8 jours.

Pour autant, du côté des forces de l'ordre, aucune alerte n'a été donné. Il n'empêche que les femmes concernées se seraient plaintes de trou de mémoire importants. Et si le généraliste a cru percevoir une remontée du GHB, la police reste beaucoup plus mesurée, en estimant que ces trous de mémoire peuvent être expliqués par une trop grande consommation d'alcool, comme ce fut déjà le cas dans le passé, tout en rappelant d'éviter, quoi qu'il arrive, de laisser son verre sans surveillance.

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